En Inde, le ministère de la Santé, a publié un communiqué, ce mercredi 24 mars. Entre les lignes, il tire la sonnette d'alarme : un nouveau variant du coronavirus, jugé plus transmissible et plus dangereux, a été détecté.
Ce virus, apprend-on dans le communiqué, repéré par l'Indépendant, serait à l'origine de la reprise active de l'épidémie de coronavirus. Celle-ci avait été évoquée dans divers médias ces derniers jours, notamment par Le Monde. C'est dans la région de Maharashtra qu'elle serait le plus présente. Vendredi 19 mars, près de 41.000 nouveaux cas positifs ont ainsi été détectés, soient quatre fois plus qu’en début d’année, en une seule journée.
Après une période de ralentissement qui s'est étendue sur cinq mois, la contamination est repartie à la hausse en Inde, deuxième pays le plus peuplé au monde, juste derrière la Chine, et qui comptabilise 1.38 milliard d'habitants.
L'immunité des patients "menacée"
En février et en mars, l'épidémie a été considérée comme hors de contrôle. Ce nouveau variant préoccupe beaucoup les autorités sanitaires indiennes. En février, lors d'une interview avec la chaîne de télévision NDTV, le docteur Randeep Guleria, directeur de l'Institut indien des sciences médicales (AIIMS) et membre de la task force Covid dans l'État du Maharashtra, avait attribué à ces nouvelles souches un "mécanisme d'échappement immunitaire". "Elles peuvent menacer l'immunité acquise par une personne via la vaccination ou la maladie et provoquer une réinfection".
Ce virus, apprend-on dans le communiqué, repéré par l'Indépendant, serait à l'origine de la reprise active de l'épidémie de coronavirus. Celle-ci avait été évoquée dans divers médias ces derniers jours, notamment par Le Monde. C'est dans la région de Maharashtra qu'elle serait le plus présente. Vendredi 19 mars, près de 41.000 nouveaux cas positifs ont ainsi été détectés, soient quatre fois plus qu’en début d’année, en une seule journée.
Après une période de ralentissement qui s'est étendue sur cinq mois, la contamination est repartie à la hausse en Inde, deuxième pays le plus peuplé au monde, juste derrière la Chine, et qui comptabilise 1.38 milliard d'habitants.
L'immunité des patients "menacée"
En février et en mars, l'épidémie a été considérée comme hors de contrôle. Ce nouveau variant préoccupe beaucoup les autorités sanitaires indiennes. En février, lors d'une interview avec la chaîne de télévision NDTV, le docteur Randeep Guleria, directeur de l'Institut indien des sciences médicales (AIIMS) et membre de la task force Covid dans l'État du Maharashtra, avait attribué à ces nouvelles souches un "mécanisme d'échappement immunitaire". "Elles peuvent menacer l'immunité acquise par une personne via la vaccination ou la maladie et provoquer une réinfection".