46 degrés Celsius étaient attendus ce jeudi 28 avril à Dehli en Inde. La température pourrait encore augmenter dans les prochains jours à cause d'un dôme de chaleur qui surplombe une partie de l'Inde et du Pakistan.
Ce phénomène météorologique est lié à un anticyclone statique qui provoque la stagnation des masses d'air chaud. Sous le dôme, l'air chaud tente de s'échapper mais la forte pression le retient. Puis, il redescend, se comprime et libère encore plus de chaleur.
Les dômes de chaleur avaient déjà beaucoup fait parler fin juin 2021 au Canada quand les thermomètres avaient affiché plus de 48 degrés. Ils devraient être de plus en plus récurrents et toucher d'autres parties du monde. Par exemple, en Inde, les vagues de chaleur ont tué plus de 6.500 personnes depuis 2010, et les scientifiques affirment qu'en raison du changement climatique, elles sont plus fréquentes mais aussi plus sévères.
Une étude scientifique de chercheurs londoniens, relayée par BFMTV, indique que des épisodes de canicule extrême sont bien dus au réchauffement climatique. D'une fois tous les cinquante ans, ils devraient se répéter "environ une fois tous les quatre ans".
Les températures sont déjà bien au-delà des normales de saison à différents endroits du globe. Il fait près de 40 degrés au Paraguay et en Argentine tandis que 36 degrés ont été recensés en Turquie et à Chypre. En France, le dernier record de chaleur date du 28 juin 2019 où la température était montée jusqu'à 49,9 degrés dans l'Hérault. Un épisode caniculaire qui pourrait se reproduire en cas de formation d'un dôme de chaleur.
Ce phénomène météorologique est lié à un anticyclone statique qui provoque la stagnation des masses d'air chaud. Sous le dôme, l'air chaud tente de s'échapper mais la forte pression le retient. Puis, il redescend, se comprime et libère encore plus de chaleur.
Les dômes de chaleur avaient déjà beaucoup fait parler fin juin 2021 au Canada quand les thermomètres avaient affiché plus de 48 degrés. Ils devraient être de plus en plus récurrents et toucher d'autres parties du monde. Par exemple, en Inde, les vagues de chaleur ont tué plus de 6.500 personnes depuis 2010, et les scientifiques affirment qu'en raison du changement climatique, elles sont plus fréquentes mais aussi plus sévères.
Une étude scientifique de chercheurs londoniens, relayée par BFMTV, indique que des épisodes de canicule extrême sont bien dus au réchauffement climatique. D'une fois tous les cinquante ans, ils devraient se répéter "environ une fois tous les quatre ans".
Les températures sont déjà bien au-delà des normales de saison à différents endroits du globe. Il fait près de 40 degrés au Paraguay et en Argentine tandis que 36 degrés ont été recensés en Turquie et à Chypre. En France, le dernier record de chaleur date du 28 juin 2019 où la température était montée jusqu'à 49,9 degrés dans l'Hérault. Un épisode caniculaire qui pourrait se reproduire en cas de formation d'un dôme de chaleur.
Plusieurs régions d’Inde ont enregistré en avril des records de chaleur, entre 35,9 °C et 37,78 °C, et cette vague caniculaire devrait se poursuivre en mai alors que l’été n’a pas encore commencé, a déclaré samedi le directeur général du département de météorologie national.
Des écoles ont également dû fermer, et les services médicaux et anti-incendies sont sur le pied de guerre. Des températures records de 35,9 °C à 37,78 °C ont été relevées dans le nord-ouest et le centre de l’Inde, a précisé à des journalistes Mrutyunjay Mohapatra, directeur général du département de météorologie.
Il s’agit des températures les plus élevées jamais enregistrées depuis que le département a commencé à effectuer des relevés, il y a 122 ans de cela.
Des écoles ont également dû fermer, et les services médicaux et anti-incendies sont sur le pied de guerre. Des températures records de 35,9 °C à 37,78 °C ont été relevées dans le nord-ouest et le centre de l’Inde, a précisé à des journalistes Mrutyunjay Mohapatra, directeur général du département de météorologie.
Il s’agit des températures les plus élevées jamais enregistrées depuis que le département a commencé à effectuer des relevés, il y a 122 ans de cela.