Chaque jour, 70.000 visiteurs viennent observer le monument historique inscrit au patrimoine de l’humanité de l’Unesco. Mais leur contemplation du bâtiment construit au XVIIe siècle par l’empereur moghol Shah Jahan en mémoire de son épouse est perturbée par les échafaudages et les centaines d’ouvriers qui grouillent sur le site.
Des couches de boue pour prévenir la saleté
Les travaux de rénovation persistent depuis quatre ans et leur fin est incertaine, rapporte La Dépêche. Le mausolée est enlaidi par des couches de boue ayant pour but de le protéger des impuretés, une technique de préservation fortement critiquée car elle abîmerait la pierre. A cela s’ajoute la crainte que la pression des échafaudages contre le bâtiment n’éreinte le marbre irrémédiablement.
Certains guides touristiques recommandent à leurs lecteurs de ne venir voir l'hommage à l’amour qu’à partir de 2019. Une date qui pourrait encore être repoussée en vue de la restauration inévitable du dôme du monument.
Des couches de boue pour prévenir la saleté
Les travaux de rénovation persistent depuis quatre ans et leur fin est incertaine, rapporte La Dépêche. Le mausolée est enlaidi par des couches de boue ayant pour but de le protéger des impuretés, une technique de préservation fortement critiquée car elle abîmerait la pierre. A cela s’ajoute la crainte que la pression des échafaudages contre le bâtiment n’éreinte le marbre irrémédiablement.
Certains guides touristiques recommandent à leurs lecteurs de ne venir voir l'hommage à l’amour qu’à partir de 2019. Une date qui pourrait encore être repoussée en vue de la restauration inévitable du dôme du monument.