Le corps de "Tiloute", soupçonné du meurtre de sa compagne à Maurice décédé la semaine dernière, est bloqué dans l’île soeur.
Maître Saïd Larifou, l’avocat de "Tiloute", explique le rapatriement du corps avait déjà été compliqué par un premier imbroglio administratif. Le passeport du Réunionnais est toujours entre les mains des forces de l’ordre mauriciennes. Il a fallu donc faire venir une pièce d’identité de La Réunion pour commencer les démarches.
Une fois cette première barrière tombée, la famille de "Tiloute" a fait face à un nouvel obstacle. L’hôpital où "Tiloute" est décédé réclame le règlement des soins et autres services de morgue - à hauteur d’environ 5 000 euros - avant de livrer le corps du Réunionnais.
Maître Saïd Larifou précise que la famille ne peut débloquer une telle somme, et compte saisir la Justice mauricienne ce mercredi, afin d’obliger l’hôpital à livrer le corps de "Tiloute".
Les procédures avaient déjà été entamées pour permettre le transport de la dépouille par avion.
Une plainte bientôt déposée
L’avocat du défunt "Tiloute" ajoute que la famille du "devineur" réunionnais s’apprête à porter plainte pour négligence contre l’hôpital en question.
L’homme de loi attend encore le rapport définitif de la contre-expertise de l’autopsie.
La maison et le temple de "Tiloute" cambriolés
Le cambriolage s’est déroulé dans la nuit de samedi à dimanche aux alentours de 3 heures du matin au domicile et au temple de "Tiloute". Des objets religieux ont été dérobés, notamment des statuettes.
Une affaire non-élucidée
"Tiloute", le "devineur" de 39 ans originaire de La Réunion, était suspecté par les autorités mauriciennes du meurtre de sa fiancée dans l’île soeur avant de se blesser gravement lui-même. Depuis le 19 juillet dernier, jour du drame, l’homme était hospitalisé en soins intensifs.
La contre-autopsie prévue ce dimanche pourrait permettre de déterminer si "Tiloute" s’est lui même donné un coup mortel ou s’il a été victime d’une agression.
Maître Saïd Larifou, l’avocat de "Tiloute", explique le rapatriement du corps avait déjà été compliqué par un premier imbroglio administratif. Le passeport du Réunionnais est toujours entre les mains des forces de l’ordre mauriciennes. Il a fallu donc faire venir une pièce d’identité de La Réunion pour commencer les démarches.
Une fois cette première barrière tombée, la famille de "Tiloute" a fait face à un nouvel obstacle. L’hôpital où "Tiloute" est décédé réclame le règlement des soins et autres services de morgue - à hauteur d’environ 5 000 euros - avant de livrer le corps du Réunionnais.
Maître Saïd Larifou précise que la famille ne peut débloquer une telle somme, et compte saisir la Justice mauricienne ce mercredi, afin d’obliger l’hôpital à livrer le corps de "Tiloute".
Les procédures avaient déjà été entamées pour permettre le transport de la dépouille par avion.
Une plainte bientôt déposée
L’avocat du défunt "Tiloute" ajoute que la famille du "devineur" réunionnais s’apprête à porter plainte pour négligence contre l’hôpital en question.
L’homme de loi attend encore le rapport définitif de la contre-expertise de l’autopsie.
La maison et le temple de "Tiloute" cambriolés
Le cambriolage s’est déroulé dans la nuit de samedi à dimanche aux alentours de 3 heures du matin au domicile et au temple de "Tiloute". Des objets religieux ont été dérobés, notamment des statuettes.
Une affaire non-élucidée
"Tiloute", le "devineur" de 39 ans originaire de La Réunion, était suspecté par les autorités mauriciennes du meurtre de sa fiancée dans l’île soeur avant de se blesser gravement lui-même. Depuis le 19 juillet dernier, jour du drame, l’homme était hospitalisé en soins intensifs.
La contre-autopsie prévue ce dimanche pourrait permettre de déterminer si "Tiloute" s’est lui même donné un coup mortel ou s’il a été victime d’une agression.
