Le temple hindou Pandialé de Ravine creuse à Saint-André a été visité la nuit dernière par une ou plusieurs personnes malintentionnées.
Vers 1H du matin, les membres du bureau du temple sont appelés en urgence alors qu’un incendie ravage le lieu de culte.
Après l’intervention des pompiers, les fidèles découvrent que plusieurs divinités ont été brulées et deux divinités ont été volées.
Le temple était en travaux depuis presque trois mois afin de le configurer aux normes en matière d’accessibilité. Les travaux sur le carrelage, l’étanchéité, la peinture et la plomberie étaient en bonne voie.
Pour les membres du temple, le caractère intentionnel de cet incendie ne fait aucun doute. La porte a été forcée.
De plus, du fait des travaux en cours, les divinités avaient été déplacées le matin même dans un local dédié à la déesse Karly. Le départ du feu semble clairement criminel car aucun dispositif électrique n’aurait permis la survenue d'un court-circuit. Une mise à feu avec de l’essence semble privilégiée, selon Frédéric Carmegom, le trésorier de l’association qui gère le temple, selon un premier constat établi par la police nationale.
Vers 1H du matin, les membres du bureau du temple sont appelés en urgence alors qu’un incendie ravage le lieu de culte.
Après l’intervention des pompiers, les fidèles découvrent que plusieurs divinités ont été brulées et deux divinités ont été volées.
Le temple était en travaux depuis presque trois mois afin de le configurer aux normes en matière d’accessibilité. Les travaux sur le carrelage, l’étanchéité, la peinture et la plomberie étaient en bonne voie.
Pour les membres du temple, le caractère intentionnel de cet incendie ne fait aucun doute. La porte a été forcée.
De plus, du fait des travaux en cours, les divinités avaient été déplacées le matin même dans un local dédié à la déesse Karly. Le départ du feu semble clairement criminel car aucun dispositif électrique n’aurait permis la survenue d'un court-circuit. Une mise à feu avec de l’essence semble privilégiée, selon Frédéric Carmegom, le trésorier de l’association qui gère le temple, selon un premier constat établi par la police nationale.