La guerre des temples à Saint-Louis
Ce lundi 10 avril a été marqué par une manifestation organisée devant le temple tamoul du centre-ville de Saint-Louis. Les manifestants dénoncent un chantier réalisé depuis plusieurs mois par des bénévoles et des immigrés et ils dénoncent une mauvaise gestion.
L’affaire a donc été portée devant la justice mais le responsable du temple estime qu’il n’a rien à se reprocher.
Sur des images amateurs, on peut distinguer plusieurs personnes qui travaillent sur le chantier en question, sur un échafaudage mais sans aucun équipement de sécurité, ni chaussures de sécurité, ni harnais…
Des travaux qui posent question pour l’association du Temple de Saint-Louis. Les membres de cette association ne comprennent pas que l’association continue de gérer ce temple, l’un des plus importants du Sud de l’île.
"Je demande à la justice qu’il y ait une égalité entre tous les temps de Saint-Louis et qu’on fasse cesser les travaux. S’il faut, que l’on mette le temps sous scellés, jusqu’à ce qu’une décision soit prise et qu’une expertise soit faite" explique Bhavagan Oulama, président de l’association de la communauté des indiens.
Le président de l’association qui gère actuellement le temple réfute toutes ces accusations. Par la voix de son avocate, il confirme que les travaux sont réalisés en toute légalité.
"Certaines personnes n’ont cessé de contester les décisions administratives, dont le permis de construire (...). Mais à chaque fois, on a pu constater que l’association Shiva était dans les règles. Je crois qu’il s’agit d’un procès d’intentions, tout simplement" explique maître Francoise Boyer Rose, avocate de l’association gérante du temple.
Selon les deux parties qui s’opposent dans cette affaire : l’inspection du travail, la gendarmerie, et la PAF (Police de l’Air et des Frontières) sont informés et les bilans ne feraient été d’aucun manquement.
L’affaire est aussi portée devant la justice, un délibéré est attendu pour la fin de ce semestre.
En attendant, les manifestations entendent bloquer l’avancée du chantier et réclament la gestion de ce temple par leur association.
Ce lundi 10 avril a été marqué par une manifestation organisée devant le temple tamoul du centre-ville de Saint-Louis. Les manifestants dénoncent un chantier réalisé depuis plusieurs mois par des bénévoles et des immigrés et ils dénoncent une mauvaise gestion.
L’affaire a donc été portée devant la justice mais le responsable du temple estime qu’il n’a rien à se reprocher.
Sur des images amateurs, on peut distinguer plusieurs personnes qui travaillent sur le chantier en question, sur un échafaudage mais sans aucun équipement de sécurité, ni chaussures de sécurité, ni harnais…
Des travaux qui posent question pour l’association du Temple de Saint-Louis. Les membres de cette association ne comprennent pas que l’association continue de gérer ce temple, l’un des plus importants du Sud de l’île.
"Je demande à la justice qu’il y ait une égalité entre tous les temps de Saint-Louis et qu’on fasse cesser les travaux. S’il faut, que l’on mette le temps sous scellés, jusqu’à ce qu’une décision soit prise et qu’une expertise soit faite" explique Bhavagan Oulama, président de l’association de la communauté des indiens.
Le président de l’association qui gère actuellement le temple réfute toutes ces accusations. Par la voix de son avocate, il confirme que les travaux sont réalisés en toute légalité.
"Certaines personnes n’ont cessé de contester les décisions administratives, dont le permis de construire (...). Mais à chaque fois, on a pu constater que l’association Shiva était dans les règles. Je crois qu’il s’agit d’un procès d’intentions, tout simplement" explique maître Francoise Boyer Rose, avocate de l’association gérante du temple.
Selon les deux parties qui s’opposent dans cette affaire : l’inspection du travail, la gendarmerie, et la PAF (Police de l’Air et des Frontières) sont informés et les bilans ne feraient été d’aucun manquement.
L’affaire est aussi portée devant la justice, un délibéré est attendu pour la fin de ce semestre.
En attendant, les manifestations entendent bloquer l’avancée du chantier et réclament la gestion de ce temple par leur association.
